A la fenêtre, le matin, il y avait un rideau de pluie. On est donc resté à l’intérieur pour vaquer aux occupations diverses.
Mais, en début d’après-midi, le temps s’est remis.
Hop, on s’est préparé, et on est sorti.
On a marché longtemps. Le long de la mer tout d’abord, et on a rejoint les bois au-dessus de St Mandrier. La terre y était souple, et les arbres parapluie.
Et vous, aujourd’hui lundi, demain mardi, et les autres jours aussi peut-être, allez-vous pouvoir marcher ? ou si ce n’est possible, être dehors ?
corniche de tamaris - Page 8
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La question du lundi : marcher.
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Moisson.
Réunir une belle tablée un dimanche midi. Il fait beau, les fenêtres sont ouvertes, on mange, on parle, on rit, on fait longue table.
A la poste de Tamaris, mettre au courrier quelques lettres et un livre : des enveloppes jaunes, d’autres bleues.
Poser sur le rebord de la fenêtre une belle potée de primevères jaunes et une autre de pavots.
Tricoter un bonnet torsadé taille naissance, en laine blanche, et le donner pour un petit garçon qui arrivera à la fin du printemps.
Longer, un matin de bonne heure, la corniche de Tamaris et regarder le ciel.
Constater qu’il y a beaucoup de visites sur ce blog et s’en réjouir, mais moins des commentaires qui font toujours chaud au cœur.
Se promener dans le Mucem à Marseille et y voir une belle exposition autour de la tour de Babel.
Se reposer, un après-midi, en restant tranquille à ne rien faire.